Cette année encore, les roches du diamant ont encore sévi et le balisage réglementaire, c'est à dire la cardinale Sud ne suffit pas pour éviter ces fortunes de mer.
La raison en est bien simple : quand on est plaisancier, on n'est pas un marin professionnel.
Quand on navigue une fois de temps en temps pour se détendre, il est absurde de penser que le plaisancier doit tout connaître comme celui dont c'est le métier.
Il est grand temps que les autorités prennent en compte cette situation pour améliorer les choses.
Baliser, par exemple, avec des bouées jaunes en saison des zones dangereuses telles que le plateau rocheux de l'Ile de Brescou serait certainement une aide significative pour les plaisanciers.
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