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Sodeal : Communiqué

Suite à la publication sur le site HERAULT TRIBUNE, le 5 janvier 2012, et l’envoi en nombre à diverses personnalités d’un courrier émanant de Monsieur Charles ROBIN, la SODEAL, à la demande de son Président Directeur Général, a cité ce dernier à comparaître devant le tribunal correctionnel de Béziers pour acte de diffamation publique à l’encontre de la société et de son directeur Monsieur Thierry BOUCHER, pour les propos et affirmations qui y sont contenus.

La SODEAL ainsi que son Directeur seront représentées par Maîtres Michel PIERCHON avocat à la Cour et Josy-Jean BOUSQUET avocat au Barreau de Béziers.

En réparation de son préjudice moral et matériel la SODEAL a demandé la condamnation de Monsieur ROBIN à des indemnités et la publication du jugement dans divers journaux et sites internet ; Monsieur BOUCHER, Directeur de la société, pour sa part, demandant la condamnation de ce dernier à l’euro symbolique.

Source : site de la Sodeal



Publié le : Vendredi 23 mars 2012

brescou brescou
1 €uro symbolique

Pourquoi Infocapagde annonce 20 000 €uros?

Y a un loup...
Nemo Nemo
Il y aurait beaucoup à dire sur cette assignation qui témoigne avant tout de la lâcheté d'élus locaux souhaitant dissimuler des informations comptables aux usagers des services portuaires gérés par les établissements qu'ils président (la SODÉAL dans cet exemple qui n'est pas unique… hélas !).



Mais avant toute chose, il convient de ne pas tomber dans le piège puéril de l'amalgame qui est ici tendu.



Ainsi, être assigné ne veut pas dire être condamné et il n'est pas du tout acquis que le tribunal correctionnel donne raison à MM. Sébastien FREY et Thierry BOUCHET. En effet, si le courrier incriminé fait état de grave dysfonctionnement de la SODÉAL, personne (exceptés ses accusateurs et leurs complices) ne peut taxer son auteur, M. Charles ROBIN, de mauvaise foi. Or, les propos litigieux mis en cause dans cette affaire émanent, pour la plupart, de rapports d'organisme de contrôle tel que la Chambre Régionale des Comptes. Dès lors, pourquoi ne pas incriminer également les juges de cette institution, auteurs de ces rapports ??? (C'est du second degrés, je précise suite aux remarques relatives à ce commentaire qui m'ont été faites sur le site Hérault Tribune).



Nous pouvons facilement comprendre l'absurdité de cette situation qui témoigne de l'incompétence des dirigeants de cette SEM qui rappelons-le, et ce n'est pas un mince détail, ne respecte pas les obligations comptables de séparation des budgets tel que prévu par le Code Général des Collectivités Locale pour la gestion d'un port de plaisance (voir l'article sur Hérault Tribune de M. Charles ROBIN du 8 février 2012 présentant des extraits du rapport annuel de la Cour des Comptes publié le 8 février 2012 : http://www.herault-tribune.com/articles/11954/cap-d-agde-les-ports-de-plaisance-des-communes-balneaires-en-languedoc-roussillon/).



De ce fait, en réunissant tous les indices relatifs à cette affaire, une conclusion s'impose à l'évidence : cette assignation n'a que pour seul objectif de réduire au silence M. Charles ROBIN afin qu'il ne mette plus son nez dans la gestion de ce service public. On ne sait jamais, dès fois qu'il puisse y trouver des choses qui ne devraient pas être divulguées.



De tels agissements dénotent de pratiques de harcèlement qui n'ont rien à envier aux organisations mafieuses. Les usagers du port de plaisance du Cap d'Agde laisseront-ils M. Charles ROBIN seul face à ces accusateurs ???



Philippe VERGNES

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